Du 09 décembre 2015 au 09 décembre 2024, nous pouvons compter 9 ans depuis l’adoption de la résolution 2250 par le Conseil de sécurité des Nations Unies.
Il est temps d’évaluer le niveau de réalisation des engagements pris par le gouvernement de la République Démocratique du Congo et l’impact de la dite résolution sur les jeunes, la paix et la sécurité. Il est également opportun d’identifier les bonnes pratiques et les défis en vue d’adapter les stratégies pour plus d’efficacité et des thérapies appropriées aux problèmes qui accablent les Jeunes dans les zones en conflits armés.
Nous profitons de cette occasion pour attirer l’attention des autorités congolaises sur les conséquences de l’exécution de la peine de mort contre les jeunes Kukuna, une décision du Ministre d’État de la Justice et garde des Sceaux qui inonde les réseaux sociaux pendant que la RDC vient de passer à son quatrième cycle de l’examen périodique universel du Conseil des droits de l’homme des Nations Unies dont elle est désormais membre permenant qui doit prêcher par l’exemple. Nous encourageons le gouvernement congolais à trouver des solutions durables aux causes profondes des problèmes en évitant le traitement symptômatique.
RESOLUTION_2250_du 09 Décémbre 2015 CSNU2015_Jeunes_Paix_Sécurité
Batundi Hangi Vicar, PhD.
Coordinateur national du FDAPID
Prix Néerlandais Tulipe pour les droits humains 2022.
fdapidrdc@gmail.com